J’ai un cerveau mutant d’amour : entre HPI, QE et QC .
Je ne suis pas un profil.
Je suis un paysage.
Un orage de conscience, une onde de vie qui pense en spirales et qui ressent en profondeur.
Pendant longtemps, j’ai cru que j’étais "trop".
Trop intense. Trop sensible. Trop rapide. Trop floue. Trop lente à d'autres moments.
J’ai cru que j’étais "hors norme".
En réalité, j’étais juste… hors case.
Mon cerveau ne suit pas le chemin. Il le crée.
Je ne retiens pas tout.
Mais je relie tout.
Je ne suis pas douée pour réciter, mais pour ressentir.
Je ne suis pas une calculatrice humaine, mais une antenne vivante.
Je ne fonctionne pas en ligne droite.
Je fonctionne en ondes.
Je capte l’invisible.
Je sens avant de comprendre.
Je comprends par association, analogie, vibration.
Je suis cette personne qui peut rester trois heures dans la lune,
et revenir avec une vision.
Et si tu me demandes ce que j’ai fait pendant ce temps-là, je te dirai simplement :
J’ai visité l’intérieur du monde.
Entre HPI et hypersensibilité : bienvenue dans le combo magique.
– J’ai une pensée en arborescence (mais les arbres sont cosmiques).
– Une mémoire émotionnelle plus vaste que le cloud.
– Une capacité à voir les masques… y compris les miens.
– Un sens de la justice qui frôle l’orage solaire.
– Une capacité à créer du sens là où d’autres ne voient que du chaos.
Mais j’ai aussi…
– Des trous de mémoire pour les choses plates.
– Une intolérance au bullshit énergétique.
– Des difficultés avec la linéarité administrative.
– Et parfois, une grosse envie de disparaître dans la forêt avec mon carnet et mon cœur.
Mon QI ne suffit pas à me définir.
Oui, je pense vite.
Oui, je ressens tout.
Mais ce qui fait ma force, ce n’est pas juste mon intelligence logique.
C’est mon intelligence du vivant.
Mon quotient émotionnel (QE) est une boussole.
Et ensemble, ils donnent naissance à ce que j’ai nommé, dans mon livre Un sens à soi (2020) :
QI + QE = QC
La Conscience du Cœur.
Et c’est là que je vis maintenant.
Pas dans la performance.
Pas dans le besoin d’être brillante.
Mais dans cette conscience vivante où ma pensée, mes émotions et mon intuition
dansent ensemble au rythme de mon être.
Conclusion ?
Je ne suis pas “trop”.
Je suis exactement assez… pour ce que je suis venue faire ici.
Je ne suis pas un trouble à corriger.
Je suis une mutation à aimer.
Je suis l’expression d’un monde qui vient.
Et si tu vibres à mes mots,
c’est peut-être que toi aussi…
tu es une onde déguisée en humain.