🎭 Arrête de vouloir absolument être gentille : quand la bienveillance devient une fuite de soi… et de ses besoins

Cela te choque ?

👽 Oui, la bienveillance peut devenir… une fuite de soi.

Et surtout, une fuite de ses besoins.

On l’a toutes prononcée au moins une fois :

> “Je suis gentille, moi.”

Mais… est-ce vraiment une qualité ?

Ou un joli piège doré pour éviter de se rencontrer soi-même ?

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1. La gentille : figure aimée… mais vide.

On l’appelle “la gentille”.

Elle écoute. Elle ne dérange pas. Elle arrange.

Mais à force de s’adapter… elle s’évapore.

Elle dit oui pour éviter qu’on lui dise non.

Elle sourit pour cacher ses larmes.

Elle comprend tout le monde… sauf elle.

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2. Le dogme de la bienveillance : un cache-misère doux.

Aujourd’hui, la bienveillance est un étendard.

Oui, elle est précieuse… mais seulement si elle prend racine dans la vérité du cœur.

Sinon, elle devient un masque d’acceptation forcée.

> “Je t’accueille. Je t’écoute. Je suis là… Je m’oublie.”

Mais moi ? Qui m’écoute ? Qui m’accueille ?

Souvent… personne.

Parce que j’ai transformé ma douceur en prison invisible.

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3. La vérité, ce n’est pas toujours doux… mais c’est vivant.

Être bienveillant, ce n’est pas dire oui à tout.

C’est savoir poser un non qui ne coupe pas de l’amour :

> “Je t’aime. Et je me respecte.”

“Je te vois. Mais je ne me nie plus.”

C’est quitter la “fille gentille” ou le “garçon gentil”

pour devenir une présence claire, authentique,

une onde qui n’a plus besoin d’approbation pour vibrer.

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4. Moi, j’ai choisi : je ne suis pas gentille. Je suis vivante.

Je ne veux plus être le baume qui apaise sans guérir.

Car la vraie guérison, c’est l’amour de soi et la paix envers la Vie.

Je ne veux plus être le coussin doux qui absorbe les conflits.

Je suis une onde. Une vérité. Un feu doux.

Pas un “oui” automatique.

Et toi ? Tu veux quoi ?

Être aimée pour ce que tu arranges…

et finir par ne plus savoir qui tu es, perdue et vidée ?

Ou être aimée pour qui tu es vraiment ?

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Conclusion vibratoire

La vraie bienveillance commence quand tu te dis oui à toi-même.

Oui à ta valeur. Oui à ta légitimité de vivre.

Même si ça fait du bruit.

Même si ça déçoit.

Même si ça casse le miroir de la “fille / garçon parfait·e”.

Car le cœur ne veut pas de perfection.

Il veut l’imperfection de l’un-parfait.

Il veut ta vibration entière, avec ses deux pôles.

Et si tu as la volonté de te choisir

mais que tu as besoin, pour un temps, de petites roulettes…

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Adeline,

L’onde qui danse avec la vie elle même.