UNarchie : Vers une Gouvernance de l’Unité Vivante.
Ici, je vous partage mes recherches sur notre héritage des anciennes civilisations, et nos essais actuels sur cette vision de gouvernance du vivant.
Héritages Anciens et Sagesse Naturelle de l’Unité.
Des sociétés anciennes et peuples autochtones nous ont légué des modèles de gouvernance imprégnés d’un profond sens de l’unité et de l’harmonie avec le vivant.
Dans l’Égypte antique,
la notion de Maât, déesse et principe de vérité, justice et ordre cosmique, guidait l’équilibre social et politique. Le pharaon était tenu de maintenir la Maât, symbole que le gouvernement devait refléter l’harmonie universelle, plutôt qu’une domination arbitraire.
De même, de nombreuses cultures autochtones privilégient la gouvernance participative et le consensus en cercle. Par exemple, les nations amérindiennes prenaient traditionnellement des décisions en conseil, où chaque voix est écoutée et où l’on recherche l’accord commun plutôt que la règle de la majorité. Ces cercles sacrés instaurent l’égalité entre les membres et renforcent la cohésion communautaire, considérant que le bien-être de chacun est indissociable de celui du groupe.
Une sagesse africaine exprime magistralement cette interconnexion : la philosophie Ubuntu enseigne « Je suis ce que je suis grâce à ce que nous sommes tous », affirmant que l’identité individuelle naît de la communauté humaine solidaire. Ce proverbe bantou “Umuntu ngumuntu ngabantu “ souligne qu’une personne n’existe qu’à travers les autres, et que notre humanité est partagée. Dans cette vision, nous sommes tous parties d’un grand Tout, liés par une responsabilité mutuelle et une empathie naturelle.
Les traditions védiques de l’Inde et la philosophie non-dualiste apportent également un éclairage unitaire. Les Upanishads proclament Tat Tvam Asi (« Tu es Cela »), révélant que l’essence de l’âme individuelle est une avec l’Absolu universel. La non-dualité (Advaita Vedānta, bouddhisme Mahayana, taoïsme, soufisme, etc.) enseigne l’unité fondamentale sous-jacente à la diversité apparente du monde. Réaliser que l’on ne fait qu’un avec le Tout transforme la manière de concevoir la société : il n’y a plus de séparation absolue entre soi et autrui, mais une fraternité spirituelle où le bien d’autrui est ressenti comme son propre bien.
Dans la philosophie de la Grèce antique, on retrouve des échos de cette unité organique. Les Stoïciens voyaient l’univers comme un être vivant unique, pénétré par le Logos (raison divine) qui relie toutes choses. Marc Aurèle écrivait que « Nous sommes tous faits pour concourir à une œuvre commune, comme dans notre corps les pieds, les mains, les yeux […] coopèrent ensemble. Agir les uns contre les autres est donc contraire à l’ordre naturel ».
Cette image du corps social, chaque personne étant un “membre” d’un organisme plus vaste , illustre l’idéal d’une gouvernance où chacun contribue au bien commun en accord avec sa fonction, sans qu’aucune partie n’opprime les autres.
Ainsi, des conceptions ancestrales d’Orient et d’Occident convergeaient vers l’idée d’une société harmonieuse, unie comme un seul être, prémices conceptuels de l’UNarchie.
Fondements Géométriques et Scientifiques de l’Intelligence du Vivant.
Au-delà des mythes et sagesses, l’unité se manifeste dans la trame même de la nature, que ce soit par les lois géométriques ou biologiques. De tout temps, l’être humain a perçu des motifs universels organisant le cosmos. La géométrie sacrée, par exemple, suggère que la création repose sur des structures mathématiques parfaites que l’on retrouve à toutes les échelles. Platon affirmait déjà que « Dieu géométrise constamment », indiquant que le divin façonne l’Univers selon des formes et proportions harmonieuses.
Du plan microcosmique au macrocosmique,
on observe en effet des patrons récurrents : spirales des galaxies et des coquillages, suite de Fibonacci dans les pétales de fleurs, ou motif de la Fleur de Vie gravé aussi bien dans les temples antiques que révélé par la cristallographie. Cette figure composée de cercles entrelacés est considérée comme un symbole de la matrice de la vie, contenant en germe toutes les formes. Pour les courants ésotériques, de tels symboles géométriques sacrés dépeignent les aspects fondamentaux de l’espace, du temps et de la vie, en somme un plan d’unité qui sous-tend la diversité du monde.
L’une des découvertes marquantes des sciences modernes est l’omniprésence des fractales dans la nature. Les fractales sont des structures à la complexité infinie, auto-similaires : chaque partie reproduit à petite échelle la forme du tout. On les retrouve partout dans l’Univers, du microscopique au cosmique, du vivant au minéral, et même dans notre propre corps. Par exemple, un arbre présente le même schéma arborescent depuis ses plus grosses branches jusqu’aux nervures de ses feuilles. Nos vaisseaux sanguins arborent un réseau fractal optimisant la distribution de l’oxygène dans chaque recoin de l’organisme. De même, les neurones du cerveau forment des ramifications fractales pour maximiser la transmission d’informations. Les fractales révèlent qu’un ordre caché se dissimule derrière le chaos apparent : la complexité de la vie suit des motifs répétitifs et imbriqués. Comprendre les fractales, c’est prendre conscience que chaque élément d’un système reflète le système entier, ce qui constitue un puissant modèle pour penser une organisation sociale où chaque communauté locale fonctionnerait sur les mêmes principes que l’ensemble de la société, une gouvernance fractale en quelque sorte. D’ailleurs, des visionnaires envisagent de nouvelles structures “holistiques” où les mêmes règles de décision s’appliquent à tous les niveaux, comme une fractale sociale qui s’autorégule à chaque échelle.
Les sciences du vivant confirment aussi l’importance de la coopération sans contrôle centralisé. Les organismes biologiques sont constitués d’une multitude de cellules intelligentes qui coordonnent leurs actions de manière distribuée. Aucun “cerveau” ne microgère chaque cellule individuellement : plutôt, chaque niveau d’organisation (cellule, tissu, organe…) possède une certaine autonomie pour résoudre les problèmes à son échelle, tout en collaborant avec les autres niveaux. Ce principe de « collective intelligence » cellulaire permet à un corps de maintenir son homéostasie et de s’adapter sans qu’un dirigeant unique ne dicte la conduite de chaque partie. Par analogie, une société pourrait fonctionner comme un écosystème ou un organisme collectif : chaque individu ou communauté joue son rôle particulier, et de leurs interactions émerge une intelligence globale. On observe ce phénomène d’intelligence distribuée chez les insectes sociaux, par exemple, une colonie d’abeilles décide de sa nouvelle ruche par le consensus dans la danse des éclaireuses, sans chef unique, chaque abeille suivant quelques règles simples produisant ensemble un comportement optimal pour le groupe. De même, les fourmis ou les champignons mycéliens créent des réseaux efficaces par de simples communications locales. La science des systèmes qualifie de tels ensembles de systèmes auto-organisés complexes, où le tout est plus intelligent que la somme de ses parties.
Ces constats scientifiques offrent une base concrète à l’Unarchie : une gouvernance fluide où le pouvoir n’est plus pyramidal mais réparti en réseaux, impliquant une confiance dans l’autonomie de chaque entité vivante pour contribuer à l’ordre du grand ensemble.
Sagesses Contemporaines : Holacratie, Non-Dualité et Spiritualité Incarnée.
À l’époque actuelle, face à la crise des modèles hiérarchiques rigidifiés, émergent de nouvelles philosophies et pratiques réinventant la gouvernance sur des principes de conscience partagée et de respect du vivant. L’Holacratie en est un exemple phare dans le monde des organisations. Développée au début des années 2000 par Brian Robertson, cette méthode de gouvernance d’entreprise décentralisée répartit l’autorité et la prise de décision à travers une holarchie de cercles auto-organisés, plutôt qu’au sein d’une chaîne de commandement pyramidale. Une holarchie (concept introduit par Arthur Koestler) désigne une structure de holons, où chaque sous-système est à la fois une entité autonome et une partie intégrante d’un système plus large. Appliqué aux organisations, cela signifie qu’une équipe ou un projet possède sa souveraineté interne (rôles, règles locales) tout en répondant aux besoins de l’ensemble de l’entreprise, et vice versa.
Cette approche renverse la logique managériale traditionnelle : le pouvoir n’est plus concentré en haut mais circulé à travers tous les acteurs. Les décisions sont distribuées aux personnes les plus proches du terrain ou de l’expertise concernée, et chacun peut contribuer à l’évolution de la structure via des processus de gouvernance participatifs. Holacratie s’inspire explicitement des systèmes vivants et de l’auto-organisation : elle rejoint en cela la sociocratie, modèle plus ancien également fondé sur des cercles et la prise de décision collective, lui-même né de l’observation des organismes sociaux naturels. En pratique, des entreprises pionnières (telles que Zappos aux États-Unis ou certaines filiales de Danone en France) ont expérimenté l’holacratie pour gagner en agilité et en engagement, même si la transition culturelle reste un défi. Ces laboratoires vivants nous montrent qu’il est possible, concrètement, de remplacer la hiérarchie figée par une gouvernance évolutive, fluide, où les rôles sont définis par la raison d’être et non le statut, et où l’autorité est un flux partagé plus qu’un siège attitré.
Parallèlement, les courants spirituels et philosophiques contemporains convergent vers l’idée d’une conscience unitive. La philosophie non-dualiste connaît un regain d’intérêt, même si il faut faire attention à son extrême qui est la désidentification du corps et du moi, les auteurs et enseignants qui invitent à reconnaître l’illusion de la séparation ego/monde. Comprendre que « tout est Un » sur le plan de la conscience modifie radicalement nos structures sociales, car on ne peut plus voir l’« autre » comme étranger ou opposé. Des approches comme la Théorie Intégrale (Ken Wilber) ou la Deep Ecology vont dans ce sens, soulignant notre interdépendance avec tous les êtres et notre environnement. Incarner la non-dualité, c’est cultiver une perception de l’unité dans l’action quotidienne : par exemple, prendre des décisions non plus seulement avec l’intellect égoïste, mais à partir d’une intelligence du cœur reconnaissant le lien entre le bien de soi, d’autrui et de la Terre.
Cette spiritualité incarnée s’appuie même sur des découvertes scientifiques récentes concernant le cœur et le cerveau. Des recherches en neurosciences cardiaques (notamment par l’Institut HeartMath) ont mis en évidence que le cœur possède son propre réseau neuronal (environ 40 000 neurones) et qu’il envoie au cerveau bien plus d’informations qu’il n’en reçoit. Surtout, ces neurones cardiaques sont neutres, dépourvus de la polarisation hémisphérique du cerveau cérébral, ce qui signifie qu’ils ne véhiculent pas nos jugements et préconceptions mentales, mais captent une information plus globale et subtile. La science parle ainsi de « l’intelligence du cœur », une capacité du cœur à percevoir et traiter des informations essentielles à notre équilibre. En pratiquant la cohérence cardiaque, c’est-à-dire en harmonisant rythmiquement le cœur et le cerveau, on observe un état de bien-être global accru, une meilleure clarté mentale, de la créativité, et même des ondes cérébrales plus élevées (gamma) associées à l’intuition et à la compassion.
Or, nos modes de gouvernance actuels ont longtemps survalorisé la pensée logique et analytique du mental, en marginalisant la sagesse du ressenti et de l’empathie du cœur.
La spiritualité intégrée propose au contraire de réaligner la tête et le cœur dans nos processus décisionnels. Cela se traduit concrètement par des pratiques de leadership conscient, de communication non-violente, de cercles de parole où l’on parle depuis le cœur. Une société guidée par l’intelligence du cœur favoriserait l’écoute, la compassion active et des choix centrés sur la vie plutôt que sur la seule optimisation matérielle.
Enfin, on voit émerger des systèmes holistiques innovants comme le Human Design, qui reflètent la quête d’alignement individuel dans le collectif. Le Human Design, créé en 1987 par Ra Uru Hu, combine des savoirs anciens (astrologie, I Ching, Kabbale, chakras védiques) pour proposer à chacun une « carte énergétique » de soi-même. C’est un outil de connaissance de soi qui distingue différents types d’êtres (générateurs, projecteurs, etc.), chacun ayant sa manière propre de prendre des décisions et d’user de son énergie. Au-delà de sa dimension ésotérique, on peut y voir la reconnaissance que la diversité des rôles et des tempéraments est une richesse pour le Tout.
En effet, une gouvernance vivante devrait tenir compte des singularités de chaque individu, pour que chacun contribue de façon optimale selon sa “design” naturel. Dans la même veine, des approches comme l’Ikigai (raison d’être personnelle) ou l’éducation holistique cherchent à révéler le potentiel unique de chaque être afin qu’il s’insère harmonieusement dans la communauté.
Toutes ces sagesses et pratiques contemporaine, holacratie organisationnelle, philosophies de l’unité, science du cœur et développement du potentiel humain, convergent vers un même horizon sociétal. Elles prônent une transformation de nos structures de pouvoir, depuis la domination séparatiste vers la communion collaborative. Il s’agit en somme de passer de la loi de la pyramide (le plus fort ou le sommet décide pour tous) à la loi du réseau vivant (chaque nœud du réseau est conscient et relié aux autres).
Vers une Gouvernance Vivante du Cœur : Vision pour le Futur.
Imaginez une société qui fonctionnerait comme un organisme sain. Au lieu d’une pyramide figée, elle aurait la souplesse d’un réseau neuronal ou mycélien, avec de multiples centres interconnectés.
Cette UNarchie, gouvernement de l’unité, s’inspirerait des principes évoqués : auto-organisation fractale, conscience du cœur, et unité spirituelle.
Concrètement, les décisions pourraient se prendre au sein de cercles locaux (communautés, villes, équipes) qui exercent une autonomie dans leur sphère, tout en étant reliés aux autres cercles par des ambassadeurs ou des plateformes participatives.
Ce modèle rappelle la structure fractale : chaque cercle local suit des principes de gouvernance identiques à ceux du cercle global (par exemple, transparence, consensus conscient, élection sans candidat, etc.), de sorte que l’information et la décision circulent de manière fluide du micro au macro.
En ce sens, une organisation en cercles holarchiques est “antihierarchique” : elle rend les rôles et responsabilités flexibles et évolutifs, maximisant les interactions transversales plutôt que la chaîne de commandement rigide.
Des entreprises visionnaires comme Haier (géant chinois de l’électroménager) ont déjà renversé leur organigramme traditionnel pour le remplacer par des centaines de « micro-entreprises » autonomes connectées en réseau, une approche franchement fractale qui a décuplé leur capacité d’innovation et de réponse rapide aux besoins locaux.
De même, au niveau planétaire, certains penseurs évoquent l’idée d’une gouvernance mondiale fractale où des assemblées locales envoient des délégués à des assemblées régionales puis globales, chaque niveau reflétant l’intelligence collective du niveau inférieur, un peu à la manière dont les cellules, les organes et les systèmes du corps humain œuvrent ensemble.
Le passage à l’UNarchie impliquerait aussi un profond changement de conscience collective.
Si nous voyons réellement l’humanité comme une seule famille et la biosphère comme notre corps étendu, alors les valeurs de coopération, de compassion et de respect du vivant deviendront naturellement le socle de la politique.
Dans une telle société alignée sur la conscience du cœur, le leadership ne serait plus une quête de pouvoir personnel mais un rôle de serviteur du Tout, similaire aux chefs de certaines traditions autochtones choisis pour leur sagesse, leur humilité et leur écoute de l’esprit de la Terre.
La technologie, elle, pourrait faciliter cette gouvernance fluide, par exemple via des plateformes décentralisées de décision (inspirées de la blockchain ou de l’intelligence collective en ligne) qui garantissent transparence et participation massive sans pour autant sombrer dans l’anarchie chaotique.
Au contraire, l’ordre émergerait de l’auto-coordination de millions de décisions locales alignées par une vision commune : préserver et épanouir la vie sous toutes ses formes.
Un des principes clés de l’UNarchie serait l’incarnation : il ne s’agit pas d’une utopie théorique, mais d’une pratique vécue “ici et maintenant” à toutes les échelles.
Par exemple, une assemblée municipale pourrait s’ouvrir par un temps de méditation collective ou de cohérence cardiaque, afin que les participants se connectent à leurs intentions les plus élevées (bien commun, empathie) avant de délibérer. Les entreprises et institutions adopteraient des chartes valorisant la prise de décision par consentement, la rotation des rôles de facilitation, et l’attention au feedback du « terrain » (employés, citoyens, écosystèmes) comme une boucle d’apprentissage continue, à l’image d’un organisme ajustant sans cesse son homéostasie. L’éducation jouerait un rôle fondamental en cultivant dès le jeune âge l’intelligence relationnelle et émotionnelle, la connaissance de soi (par des outils comme le Human Design ou autres) et le sentiment d’appartenance à la communauté humaine et au vivant.
Des signes avant-coureurs de cette transition se manifestent déjà : mouvements de villes en transition, expérimentations de démocratie délibérative (budget participatif, jurys citoyens), réseaux d’écovillages fonctionnant en gouvernance partagée, ou encore l’essor des organisations “Opale” décrites par Frederic Laloux (qui privilégient l’autogestion, la plénitude de chaque membre et une raison d’être évolutive). Tous ces exemples concrets montrent qu’un autre mode de gouvernance est possible, où la structure sert l’épanouissement de la vie plutôt que de la contraindre.
En définitive, l’UNarchie pourrait se définir comme l’art de gouverner depuis l’Unité.
C’est un changement de paradigme radical qui répond aux impasses de notre époque : face à la fragmentation sociale, elle propose la communion; face à la domination de la nature, la coopération symbiotique; face à la centralisation excessive, la distribution du pouvoir.
En reconnectant les fils entre les sagesses anciennes, les modèles du vivant et les aspirations spirituelles contemporaines, l’UNarchie trace une voie vers un futur à la fois poétique et pragmatique.
Poétique, car elle s’inspire de la vision sacrée d’un monde où chaque être est une étincelle du même Feu de la vie. Pragmatique, car elle s’appuie sur des mécanismes éprouvés de la nature pour concevoir des systèmes résilients et adaptatifs.
Du sommet de la pyramide au réseau du cœur, le voyage de la hiérarchie à l’UNarchie est celui d’une humanité qui grandit en conscience. C’est un passage initiatique collectif où nous apprenons à danser avec l’Intelligence du Vivant, à honorer la conscience du cœur dans nos lois et institutions, et à reconnaître finalement que gouverner, c’est aimer, aimer assez la vie que pour la servir humblement, en Unité.
🌀 Et si gouverner, c’était aimer ?
L’UNarchie, c’est le vivant qui se rappelle qu’il est UN.
Ni pyramide, ni chaos : un cercle, une onde, une respiration.
Si ça résonne, partage, commente, ou réponds-moi.
L’onde se propage par le cœur 💗.
Avec foi en la Vie,
Adeline Petit – Facilitatrice du cœur.
J’accompagne les âmes à se rencontrer dans la paix et la présence.
🌹 Consultation → phoenixadelinepetit.com/accompagnements
📖 Livre-témoignage – Nos Âmes Cœurs → https://amzn.eu/d/2nxyfnE
🎥 YouTube → @ManifesteOndeVie
Sources pour la créativité de cette article :
The emergence of law in ancient Egypt: The role of Maat
http://www.scielo.org.za/scielo.php?script=sci_arttext&pid=S1021-545X2018000100004
Consensus decision-making - (Native American Studies) - Vocab, Definition, Explanations | Fiveable
https://fiveable.me/key-terms/hs-native-american-studies/consensus-decision-making
Ubuntu (philosophie) — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ubuntu_(philosophie)
Ubuntu (philosophie) — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ubuntu_(philosophie)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Non-dualit%C3%A9
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http://www.roma-quadrata.com/marc-aurele.html
https://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9om%C3%A9trie_sacr%C3%A9e
https://fr.wikipedia.org/wiki/Fleur_de_vie
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Les Fractales : La Signature Cachée
https://www.pamelamagotte.fr/pensees-en-liberte/les-fractales-la-signature-cachee/
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Les Fractales : La Signature Cachée
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Fractal Governance → Area - Prism → Sustainability Directory
https://prism.sustainability-directory.com/area/fractal-governance/
Journey Through the Fractalization of Multilevel Governance: Levers ...
https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC10028622/
https://fr.wikipedia.org/wiki/Holacratie
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Intelligence du Coeur - Golden Heart Wisdom
https://goldenheartwisdom.com/intelligence-du-coeur/
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https://goldenheartwisdom.com/intelligence-du-coeur/
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https://fr.wikipedia.org/wiki/Human_Design
The Organization of the Future Is Fractal | BCG
https://www.bcg.com/publications/2022/fractal-companies-are-the-organizations-of-the-future
The Organization of the Future Is Fractal | BCG
https://www.bcg.com/publications/2022/fractal-companies-are-the-organizations-of-the-future