Désacraliser l’Amour, car il n’est pas élitiste .

Et si aimer ne suffisait pas ? Et si justement, c’était ça, l’Amour vrai ?

On a mis l’Amour sur un piédestal…

Là-haut, tout en haut, à côté de la vérité, du bonheur, du “sacré” en lettres capitales.

Mais l’Amour, le vrai, n’a jamais demandé ça.

Il n’a pas besoin d’un temple doré.

Il ne guérit pas tout.

Il ne transforme pas toujours.

Et il ne sauve pas.

Anecdote 1 – “Si j’aime assez, il va guérir…”

L’Amour dans le miroir de ma flamme jumelle.

Je l’ai cru, moi aussi.

Je l’ai même incarné jusqu’au bout du bout.

J’ai traversé l’idée que si je vibrais assez d’Amour, il se rappellerait. Il reviendrait. Il guérirait.

Mais l’Amour, même le plus pur, ne peut rien pour quelqu’un qui ne veut pas encore regarder.

Et j’ai compris, dans mes cellules, dans mes larmes, dans mon ventre vide, qu’aimer ne veut pas dire sacrifier.

Que l’Amour, le vrai, ne porte pas l’autre à bout de bras.

Il offre sa main, il ouvre sa poitrine, mais il n’oblige pas.

Cette vérité, je l’ai inscrite dans mon livre Nos Âmes Cœurs, disponible sur Amazon.

Parce qu’elle marque la fin d’un mythe : celui de croire qu’on peut guérir l’autre par notre seule présence.

Anecdote 2 – “Même ma mère, je n’ai pas pu la sauver”.

L’Amour dans la vérité brute de la famille.

Ma mère m’a montré l’autre face.

Celle de l’amour qui ne suffit pas à réparer.

Celle où, malgré toute ma tendresse, ma lumière, mes mots doux, elle restait enfermée dans sa bulle de survie.

Je l’ai aimée fort.

Mais ce n’était pas de l’Amour qui sauve.

C’était un amour qui apprend à laisser partir, à ne pas fusionner, à ne pas se perdre.

Là aussi, j’ai compris que l’Amour n’est pas toute-puissance, et que parfois, la vraie offrande, c’est la paix de dire “je n’ai plus à essayer”.

Ce qu’elle doit créer c’est son amour propre.

L’Amour n’est pas un diplôme spirituel.

Ce n’est pas “je t’aime, donc tu me dois un miracle.”

Ce n’est pas “je me sacre, donc tu dois m’élever.”

C’est un feu doux.

Qui éclaire sans brûler.

Qui dit “je suis là” même quand l’autre ne regarde pas.

Et qui ose partir quand le cœur dit stop.

Conclusion – L’Amour n’est pas élitiste, il est vivant.

Ce n’est pas un privilège.

C’est une invitation.

Une présence.

Pas besoin d’être prêt.

Juste besoin d’être là.

Tu as besoin d’un accompagnement personnalisé pour goûter de nouveau à cet Amour et toi et désendre dans ton cœur.

Je t’invite à regarder mon accompagnement : séance de Coaching, retraite individuelle et de groupe.

Adeline, l'onde de vie qui danse avec la vie elle m'aime.

Adeline PETIT

Coach de Vie, auteur et entrepreneur en intelligence émotionnelle.

https://www.phoenixadelinepetit.com
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Cette flamme jumelle qui m’a ramenée à moi.